Chez Laboratoire Gallia nous sommes convaincus qu’un parent épanoui, c’est un bébé apaisé, qui grandit en bonne santé. C’est pour cela que nous avons décidé de nous engager au-delà de l’accompagnement des bébés, notre quotidien depuis plus de 50 ans, en sensibilisant le plus grand nombre sur la période clé du post-partum.
Souvent appelé « 4ème trimestre de grossesse », le post-partum est indéniablement l’une des plus belles périodes de la vie. Mais si cette étape marque le début d’une grande et belle aventure, elle laisse également place à de nombreux doutes et bouleversements, tant physiques que psychologiques, pour la maman et pour le papa. La durée de cette période reste à durée indéterminée, chaque parent est unique !
Ainsi, si certains parents traversent cette période sans l’ombre d’un nuage, d’autres se montrent plus en difficulté, voire littéralement épuisés. Alors, comment appréhender au mieux ce tsunami psycho-émotionnel, où les courtes nuits se mêlent à de grands moments de joie ? À quelles difficultés sont confrontés les jeunes parents et vers qui peuvent-ils se tourner ? Qui est vraiment concerné par le post-partum ? Comment mieux l’appréhender ?
Pour répondre à ces questions, nous avons mené trois études* avec l’institut Ipsos, afin de mieux comprendre le réel ressenti des parents et identifier les enjeux clés de cette période, où la joie et le bonheur sont intrinsèquement mêlés aux sentiment de doute, de chamboulement, et d’épuisement, pour les parents.
Notre objectif : les accompagner pour nourrir leur confiance tout en sensibilisant les proches des jeunes parents. Car nous avons tous un rôle à jouer et une question simple à poser : « Comment ca va, toi ? »
des parents**
éprouvent de la joie et du bonheur pendant cette période mais autant (88%) se disent épuisés.
des mamans**
sont épuisées émotionnellement durant la période du post partum***
des papas**
sont épuisés psychologiquement durant la période du post partum***
"Le post-partum c’est cette période que 100% des parents traversent à la suite d’un accouchement. Et bien plus qu’une période définie sur le calendrier, le post-partum, c’est ce moment unique, nouveau, où la maman, le papa, le co-parent construisent de nouveaux repères avec bébé. Il ne faut pas le confondre avec la dépression post-partum, ou avec le babyblues. La durée du post-partum peut varier selon chacun, car nous sommes tous uniques."
Chirstelle Albaret décrypte pour vous l'étude IPSOS que nous avons effectué.
Si les jeunes parents sont de plus en plus éclairés et épaulés durant les mois qui précédent l’arrivée d’un nouvel enfant, la période délicate du post-partum est encore trop souvent ignorée, voire carrément mise de côté, dû à une méconnaissance du sujet. Ce sentiment qui se renforce d'ailleurs pour les primipares.
Mais pour quelles mystérieuses raisons un tel silence entoure encore cette nouvelle étape de vie ? Pourquoi la réalité est-elle édulcorée ? Si, pour de nombreuses cultures, elle est appelée « le mois d’or » ou à l’inverse, aucun mot n’existe pour caractériser cette phase difficile puisqu’elle n’existe pas, en France, les barrières commencent à tomber. Le mythe du « parent parfait » tend à s’atténuer et la société à bienheureusement évolué face aux nouvelles formes de parentalité : les nouvelles générations souhaitent certes avoir un enfant, mais sans pour autant se taire sur les difficultés rencontrées, ni se sacrifier.
Nous devons diminuer le poids, parfois lourd à porter, pour les parents !
Fatigue, manque de sommeil, charge mentale décuplée, chute d’hormones, retour au travail … Avoir un bébé, ce n’est pas (que) du bonheur. Seuls 28% des parents se sentent réellement soutenus moralement et seuls 18% se sentent soutenus logistiquement.
Des résultats qui s’éloignent de l’image de la « mère parfaite », comblée et rayonnante, souvent diffusée par la société. Des parents dont la santé mentale et physique doit être préservée avec un accompagnement en amont et en aval de l’arrivée de bébé. Sans être considérés comme « faibles » ni « souffrants », les jeunes parents méritent, au même titre que leur bébé, d’être au cœur des attentions. Rien qu’en prêtant une oreille attentive à ces apprentis-parents, nous pouvons tous être acteurs. Pour prendre soin de ses proches, l’empathie et l’écoute vaudront plus que toutes les jolies attentions matérielles. Alors, la marque invite à mettre de côté les conventions sociétales et oser poser la question : « Comment ça va, toi ? ».
A travers de cette campagne de sensibilisation, nous souhaitons sensibiliser l’ensemble de l’écosystème parental (l’entourage, les professionnels de santé, les entreprises et le gouvernement) à l’importance d’un meilleur accompagnement des parents durant la période du post-partum. Il est nécessaire d'encourager les parents à en parler, à oser poser des questions et à demander de l’aide. Une démarche qui s’inscrit dans l’esprit du mouvement B CorpTM**, au sein duquel la marque est engagée pour avoir un impact social positif au quotidien. Cette campagne met en exergue ce sujet de société et de santé publique afin de déculpabiliser les parents et démontrer qu’ils ne sont pas seuls à douter. Oui, « l’après » ça se prépare et l’on ne peut pas forcément traverser cette nouvelle étape de vie sans un peu d’aide logistique ou psychologique.
Afin de contribuer à transformer le post-partum en un moment plus doux, plus apaisant, et plus bienveillant pour les jeunes parents, nous sommes soutenus par des partenaires clés tel que Christèle Albaret, psychosociologue et fondatrice de la Clinique e-santé à Paris, mais également l’ensemble de l’équipe Bliss Stories ou encore SOS Prema (première association Française d'aide et soutien aux familles d'enfant prématuré).
Bliss Stories, le podcast n°1 sur la parentalité, est convaincu qu’il y a un besoin réel d’informer et d’accompagner les futurs parents sur les bouleversements qu’ils s’apprêtent à vivre à l’arrivée d’un enfant, sans tabou, sans filtre. C’est pourquoi, partenaire du Laboratoire Gallia depuis 2021, Bliss soutient l'initiative de sensibilisation sur la cause du post-partum menée par la marque, afin de faire évoluer les mentalités, et mettre des mots sur cette période, que 100% des parents vivent et qui n'est pas toujours si rose ! Un soutient qui se matérialisera notamment par la diffusion du spot TV lors du spectacle de Bliss à l’Olympia le 08 mars, ou encore par l’intervention de Clémentine Galey au siège social de Danone France pour échanger autour de la parentalité au travail.
Partenaire du Laboratoire Gallia depuis 18 ans, SOS Prema est une association de parents qui accompagne plus de 900 000 familles confrontées à la prématurité ou à l’hospitalisation de leur nouveau-né. En tant que partenaire historique de la marque, SOS Prema a fait le choix de soutenir la démarche du Laboratoire Gallia dans le cadre la sensibilisation des parents et du plus grand monde, à l’importance du sujet du post partum. Pour plus d’information sur les actions de notre partenaire SOS prema, découvrez
Cet appel à faire évoluer les mentalités doit également se matérialiser par de nouvelles façons d’agir avec les jeunes parents : L’idée ? Apporter son aide au travers d’une checklist d’idée (apporter un plat de lasagne, garder bébé 1h, passer l’aspirateur, …), afin de faciliter le nouveau quotidien des jeunes parents. On choisit tous un témoin de mariage ou une marraine, alors pourquoi devrait-on vivre le post-partum sans ses proches ? ou pourquoi mon entreprise ou mon médecin généraliste ne pourrait pas également m’aider à faciliter mon quotidien ?
Frère, sœur, voisin, ami, collègue : tout le monde peut faire quelque chose pour un proche devenu parent. La livraison de repas à domicile, de courses, une aide pour la gestion de la maison ou encore pour la garde de bébé, apparaissent ainsi comme les premiers souhaits des parents interrogés dans l’étude.
souhaitent l’aide de ses proches pour la gestion du quotidien**
la livraison de repas ou de courses à domicile **
de l’aide des proches pour s’occuper de bébé**
Alors, pourquoi ne pas apporter un bon plat fait-maison aux jeunes parents plutôt qu’une énième peluche ?
C’est un nouvel état d’esprit plus ‘bienveillant’ que nous proposons, dans le but de faire évoluer les mentalités et apporter une aide concrète, moins matérielle et plus psychologique, physique ou encore logistique aux parents. Cette démarche s’inscrit dans un mouvement que nous appelons « mouvement des bienveilleuses » où l’on peut tous choisir une action simple pour faciliter le quotidien des jeunes parents.
La checklist des Bienveilleuses pour prendre soin des jeunes parents
Parce que chez Laboratoire Gallia nous sommes convaincus que pour prendre soin de ses proches, l’empathie et l’écoute, vaudront plus durant cette période que toutes les jolies attentions matérielles !
Face à cette étape délicate qu’est le post-partum, la sage-femme reste, pour 59% des parents, la première source d’information, suivie de près par le médecin généraliste, qui renseigne aussi fortement le co-parent. A ce titre, 97% des sage-femmes constatent un épuisement physique de certains des parents. Mais de nombreuses aides semblent nécessaires et manquent lorsque l’on devient parent, et notamment l’aide psychologique, et plus précisément le besoin d’un rendez-vous avec un psychologue pour mettre des mots sur son mal-être et être guidé.
Durant cette période, l’échelle d’Edimbourg**** s’avère être un outil précieux permettant aux professionnels de santé de poser les bonnes questions afin d’évaluer la santé mentale des parents et de mieux les accompagner. En tant que parents, n’hésitez pas à demander proactivement de réaliser le test auprès d’un des professionnels de santé qui vous accompagnent.
Si les pouvoirs publics se penchent de plus en plus sur le sujet du post-partum - comme en atteste la mise en place d’un entretien postnatal obligatoire depuis le 1er juillet 2022 - 66%** des parents interrogés estiment que le gouvernement « n’est pas encore assez mobilisé ».
Ainsi, l’étude menée par le Laboratoire Gallia a démontré que plus de 78% des parents trouveraient très utile un « allongement du congé maternité », 52% d’entre eux jugent qu’un «soutien logistique» serait très utile lors de l’arrivée d’un nouveau-né et 34% voudraient être « plus écoutés » durant leur séjour à la maternité.
C’est pourquoi le Laboratoire Gallia s’engage à une sensibilisation 360° afin de mobiliser l’ensemble de l’écosystème parental derrière ce sujet de santé publique, qui concerne 100% des nouveaux parents. Un enjeu également dans la sphère professionnelle puisque le retour au travail en France a potentiellement lieu lors de la période du post-partum et constitue une part du stress et du poids ressentis par les parents.
Un enjeu que n’écarte par la marque Laboratoire Gallia, marque du groupe Danone, pour ses salariés.
*Une première étude qualitative avec 26 parents, complétée par une étude quantitative avec 400 parents, d’enfants de 0 à 24 mois. Les professionnels n’ont pas non plus été oubliés : 100 sage-femmes, présentant au moins deux années d’expérience sur le terrain, ont été interrogées.
** Etude réalisée en décembre 2022 par Ipsos auprès de 400 parents, ayant des enfants entre 0 et 24 mois.
***Le post-partum : souvent appelé 4ème trimestre, il reste à durée indéterminée et chaque parent le vit à sa manière.
**** Aussi appelé Test EDPS, ce questionnaire developpé en 1989 par les chercheurs de l’université d’Edimbourg, J.L. Cox, J.M. Holden et R. Sagovsky, est destiné aux femmes ayant eu un bébé récemment (dans l'année écoulée) ou aux femmes enceintes, est conçu pour déterminer rapidement si la personne souffre de problèmes liés à une dépression post-partum ou post-natale. Une consultation avec un professionnel de santé est néanmoins indispensable pour poser un réel diagnostic.
Le Laboratoire Gallia encourage l'allaitement maternel au moins jusqu'aux 6 mois de l'enfant en accord avec les recommandations de l'OMS. En effet le lait maternel est l'aliment le mieux adapté aux besoins spécifiques des bébés. Par ailleurs, la réglementation interdit aux industriels de l'alimentation infantile de communiquer sur leurs laits pour nourrisson (0-6 mois). Consultez votre médecin.
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